BLACKWATER, TOME 01 : LA CRUE – MICHAEL MCDOWELL
Si vous n’avez pas entendu parler de Blackwater, même vaguement, c’est que vous vivez dans une autre galaxie. Cette série de 6 tomes a fait grand bruit à sa sortie et a battu des records de vente. J’ai personnellement acheté tous les tomes dés le jour de leur sortie mais évidemment, je n’ai commencé cette saga qu’il n’y a peu de temps.
EDITION : MONSIEUR TOUSSAINT LOUVERTURE
PAGES : 250
Les débuts de la saga Blackwater sont donc des débuts prometteurs. Je découvrirai la suite avec plaisir, le pari est donc réussir pour ce premier tome, La Crue. Si j’ai un petit conseil à vous donner, c’est de vous ruer en librairie ou en bilbiothèque pour découvrir ce qu’a cette saga dans le ventre. Si vous n’avez pas entendu parler de Blackwater, même vaguement, c’est que vous vivez dans une autre galaxie. Cette série de 6 tomes a fait grand bruit à sa sortie et a battu des records de vente. J’ai personnellement acheté tous les tomes dés le jour de leur sortie mais évidemment, je n’ai commencé cette saga qu’il y a peu de temps.
Ce premier tome n’est pas ce à quoi je m’attendais mais j’ai tout de même énormément aimé. Je m’attendais à un récit plus fantastique et horrifique mais finalement, ça ne l’est pas tant que ça. Pourtant, le personnage d’Elinor est très particulier et on se demande ce qui peut bien se tramer de son côté. Pourquoi avoir choisi cette famille ? Quel est son but final ? On se pose plein de questions dés le début et j’ai vraiment hâte de voir les réponses qui vont être apportées dans les prochains tomes.
Blackwater c’est aussi une histoire de famille, celle de la famille Caskey. Et je dois dire que ce n’est pas la famille la plus stable qui existe. Il y a beaucoup d’histoires et de rancœur entres ses membres, et l’arrivée d’Elinor ne va pas arranger l’affaire. Et ça tombe bien, parce que j’adore les histoires de familles bien compliquées, bien rancunières, bien instables.
Mais ce que j’adore aussi dans cette saga, c’est tout son contexte. Je ne saurais vraiment vous expliquer pourquoi, mais j’ai un petit faible pour les livres qui se passent dans les petites villes américaines durant la première moitié du XXè siècle. Peu importe le genre du livre, c’est une période et un lieu qui me plaît beaucoup. Il y a toujours une aura de mystère qui plane, encore plus dans cette petite ville de Perdido où la crue a amené la femme la plus mystérieuse que les habitants n’aient jamais rencontré.
En ce qui concerne l’intrigue, comme je vous l’ai dit plus haut, elle n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. Je m’attendais à beaucoup de fantastique et beaucoup d’angoisse mais finalement, pas tant que ça. Oui, il y a du surnaturel qui a débarqué à Perdido mais pour l’instant c’est assez léger. Néanmoins, il y en a bien assez pour attiser ma curiosité et me rendre accroc. Ce premier tome n’est que le premier d’une saga qui en cumule six, je suis sûre que l’auteur nous promet d’autres surprises. Et qui sait, ce fantastique et cette horreur dont j’ai entendu parlé sur les réseaux vont peut-être arriver dans les prochains tomes.
